Dans la nuit noire, son ame s'envole, son coeur s'eparpille mais son corps reste parmis nous. Seule, je traine des pieds, j'herre comme une ame perdue. Dans mes pensées, dans mon futur et mon avenir, je resterai à jamais. Je ne veux pas mourir, je ne veux pas partir. La lune immense brille dans le ciel éclairé par quelques planètes brillantes apellées etoiles.
Les etoiles vivent t'elles? Ont t'elles ce don? Oui ce don qui s'apelle reflechir. Pourquoi je me pose toutes ses questions? Elles ne servent à rien. Je suis triste, oui c'est le mot, il m'a quitté, il a osé.
Je rentre dans cet endroit lugubre où toutes tes photos sont accrochées dans le salon. Je t'aimais tu n'aurais pas du me quitter. Je rejoins ma salle de bain. Je fait couler mon bain, l'eau se verse et se deverse dans la baignire en porcelaine.
-Je t'aimais!
Tu m'a quitté, tu m'a tué. Je t'ai promis de ne jamais rien tenter qui soit en rapport pour te retrouver mais je t'aime! Je veux entendre ta voix, douce voix qui m'a souvent bercée dans mes angoisses et mes peines. A chaque fois tu était la, la pour me consoler et me cajoler. Je t'aime et t'aimerai. Les jambes flageolantes j'entre dans l'eau tiede. Ton couteau suisse à la main, mais qu'est ce que je fait? Ou est partie la promesse de ne jamais essayer de te retrouver? Je suis si désolée... Le couteau se pointe en direction de mon bras. Est-ce douloureux la mort? Il n'y a aucune mort douce je le sais. La pointe s'enfonce sur une veine qui repartie mon sang dans l'eau si transparente à present si rouge. Je t'aime... Je parle à moi meme semblabe à une folle:
-Regarde ce que tu as fait pauvre folle! A present tu souffres! De toute facon, toute ta vie tu as souffert... Sauf quand tu étais là mon amour... Regarde! Regarde mon bras! Tu es l'amour de ma vie.
Sur mon bras le nom Timo avait été transperçé, je le rejoins adieu...