[OS] Candamné à tord

« Blâmé jour et nuit, accusé à tord voila le statut idyllique d’un esprit condamné à vie, d’une âme condamnée à mort.

Le cœur est pionnier de passion quand l’essence supra- conditionnelle se noie dans l’intrigue existentielle, la mienne, la sienne … la notre !!

Je l’ai aimé mes frères, oui je l’ai aimé … »

-Tribunal d’Hambourg 14 février 2008-

« Nous assistons aujourd’hui au procès de Bonk David, accusé de meurtre sur la personne de Selim Lulia, la séance débute aujourd’hui 14 février 2008 à 10h05 et prendra fin lorsque le décidera le présumé Juge Ander .

Nous appelons à la barre sonnenschein Timo. »

Un jeune homme s’avança en chancelant, l’ai maussade, il n’adressa aucun regard à l’accusé de peur de faillir à l’image de l’homme fort qu’il dégageait. Ah les apparences sont si fallacieuses !!

Lorsqu’il fut face à la foule de spectateurs, une vague d’appréhension parcourue chacun de ses membres engourdis, il s’efforça de tordre ses mains tremblantes dans une figure figée mais les flashs qui l’aveuglaient alimentaient encore plus la petit bête grisâtre qui avait trouvé refuge dans son esprit.

Après quelques instants de silence, il brandit sa main droite et formula maladroitement la réplique traditionnelle « Je jure de dire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité ».

La vérité ? Encore cette notion biscornue qui échouait sur la plage déserte de la vie !! Oui qui de nous connaissait le juste sens de la « vérité » … Personne, c’était encore l’un de ces termes hérité par nos aïeuls et dont le la connaissance restait limité à l’instinct, un instinct malencontreusement fauché par l’absurde relativité.
La vérité est la matérialisation d’une idée réelle, juste et raisonnable … Et la raison n’était autre que David était la moitié de Timo !! Il n’y avait point de mystification, l’incohérence entre la situation et la pensée constituait le chaînon manquant de cette longue parure … Il l’aurai vu de ses propres yeux, David serait toujours innocent à ses yeux … Non ce n’était pas une incapacité de jugement, ce n’était pas un mensonge … c’était une pure amitié … une parfaite fraternité ... C’est dans cet esprit là, que le jeune rappeur débuta sa tirade …

Timo : Il faisait sombre, tout était trop terne pour être correctement discerné, ce soir là je me sentais seul et j’avais donc décidé de rendre une petite visite à David, à l’improviste, quand je suis arrivé la porte grinçait légèrement au gré de la douce brise, et des cris étouffés échappaient de l’appartement … Apeuré j’ai accouru sans signaler ma présence, comme je l’avais craint les gémissements de douleur étaient ceux de Dav’, il se tenait figé face au corps inerte de Lulia, elle était étendue sur une flaque de sang nacre … Il ne l’a pas tué … il saignait aussi et je le connais depui…

« Tenez-en vous aux faits s’il vous plait »

Timo se tut face au ton glacial de cette voix accusatrice, il se sentit encore une fois perdu, tiraillé entre deux parcelles d’horreur, inventer ou se condamner ?

Timo : D’accord, il avait un œil bleuté et des larmes coulaient le long de son visage … Épouvanté, mon regard atterrit sur le corps de la jeune demoiselle, elle tenait crispé entre ses doigts des ciseaux de couture …

« Les même que ceux-là ? » fit la même voix en brandissant un sachet en plastique transparent.
Timo approuva d’un signe morne, tandis que l’homme reprit.

« Je tiens à signaler à votre adresse que c’est la pièce a conviction qui a été retrouvée sur le lieu du crime, le labo a décrété avec certitudes qu’il y avait les empruntes de Mr Bonk un peu partout sur l’arme »

Timo : Ils vivaient ensemble vous savez …

« Je ne me rappelle pas vous avoir donné la parole … »

« OBJECTION !! » râla l’avocat de défense. « Il agresse verbalement le témoin ! »

« Objection retenue … Que le témoin continue son récit …» fit la voix douce du juge.

Timo : Donc, je me suis approché de David, il semblait mi-conscient …

« Sous-entendez-vous que l’accusé se drogue ? »

« OBJECTION … Il interrompt le témoin monsieur le juge … »

Mais cette fois-ci le juge fit signe à Timo de répondre.

Timo : Non, il était parfaitement sobre ce soir-là …

« Pourquoi, il ne l’ai pas les autres soir ? »

« Monsieur le juge, nous sommes ici pour traiter d’un meurtre, et non pas d’un trafic de drogue quel qu’il soit !! » plaida l’avocat de David.

Le juge : Bon, que le témoin prenne la parole …

Timo : David sobre et chamboulé , se tenait comme une statuette de bronze face à moi, je m’étais approché de lui et je le secouai à deux reprises afin de l’aider à éveiller tous ses sens naturels …Quand il cogita il me fit signe de regarder vers la fenêtre … elle avait un ou deux carreaux de brisés …

« les aurait-ils cassés lui-même ? »

Timo : Non, j’ai aperçu une silhouette difforme s’éloigner …

« Je croyais qu’il faisait sombre et qu’il était presque impossible de discerner quoi que ce soit !! »

Timo : Oui, mais il y avait la lumière des rebervers !!

« Très bien … très bien … vous pouvez disposer »

Timo : euh … c’est tout, vous ne me demandez pas ce que je pense ?

« Nous ne sommes pas dans une conférence de presse, bien que la médiatisation de ce procès y ressemble cruellement … Nous vous demandons juste de vous en tenir aux faits !! »

« Monsieur le juge, j’ai une question pour le témoin !! » fit soudain l’avocat de défense.

Juge : faites …

« Quel était la relation entre la défunte et mon client ? »

Timo : Ils étaient fiancés

« Mon client avait-il des sentiments pour la défunte ? »

Timo : Oui, il était fou d’elle …

« Fou ? Au point de a tuer ? » Fulmina le procureur.

« Monsieur le juge !! » brailla l’avocat de défense .

« Mais nous pouvons supposer le cas d’un crime passionnel monsieur le juge !! »

Légèrement irrité par le duel entre les deux rivaux, le juge saisit son petit marteau de bois et tapota trois fois, le son aigue résonna en écho dans toute la pièce et le silence régna à nouveau.

Le juge : Abrégeons … j’appelle l’accusé à la barre des témoins !!

En s’entendant interpellé par la voix grave et doucereuse du juge, le cœur de David manqua deux battements et son souffle il y a à peines quelques secondes inaudibles éclata en soupirs bruyants, il se leva timidement les mains menottées et se dirigea tête baissé vers la barre, seul les bombements excessifs de sa poitrine rythmait ses pas.

Un brouhaha infernal d’exclamations bourdonna au dessus de sa tête, tous ses visages, toutes ses expressions, ils ne la connaissaient pas, ils ne le connaissaient pas lui … un sentiment de pur indignation se fraya un chemin entre ses veines jusqu’à atterrir au creux de son estomac, il n’avait pas peur, il avait honte !!

David : Hum hum …

Quand il s’était éclaircit la gorge, tous les regards fixés sur lui, s’intensifièrent dans des mines de concentration suprême, des journalistes brandissaient leur plumes, d’autres sûrement des fans s’épongeaient le visage à l’aide d’un mouchoir en papier, et les autres étaient sûrement là pour le plaisir de se divertir.

David : j’avoue …

Sa voix s’était écarquillée, perdue dans ses souvenirs floues…

David : je console mes erreurs en les avouant, oui, je suis un homme au pied du mur, coincé entre la culpabilité et le futilité, Lulia était le rayon de soleil qui éclairait ma musique, quand je l’ai rencontré, j’avais 16 ans, elle avait débarqué au beau milieu de l’année, dès que je l’avais vu ses grands yeux m’avaient transpercé d’émotions, ses traits parfaitement dessiné illustraient sa beauté arabe, elle était syrienne à l’étoffe fière … Lulia Selim, elle était toute fière de son nom, elle disait qu’il lui avait été donné en hommage à Zenobia Lulia Selim, reine de l’empire Palmyrène, le plus grand de Rome …Romanesque …Oh mon amour perdu !! Avant elle je déambulais sur cette terre au gré des quatre saisons, été, automne, hiver, printemps… tous se succédaient mélancoliquement … Je vivais pour vivre … C’est alors qu’elle m’a offert l’amour et l’illusion, l’idéal et l’imparfait …Oui je suis un homme au cœur de pierre, je l’ai tué par l’exaspération et le vice … Tu vois Lulia … Au fond je suis un homme blasé, pur prototype de la nation, la création robotique de la société … ma conduite est guidé par les autres, je tourne en bourrique … Oui je suis le roi de la soumission !!
Ce soir là, elle avait plongée ses yeux cristallins dans les miens, l’alchimie mes amis, le courant est passé si fort qu’il a finit par m’ôter toute conscience … Au diable la réflexion, la pensée et le songe … elle était mienne … elle était la reine de l’illusion …Au fond qu’on me pardonne je suis lésé par l’irréalité … C’est elle qui m’à tué …
Quand elle a dit qu’elle me quittait, toutes mes ambitions tournaient en rond, tous mes rêves brisés tourbillonnaient arbitrairement … Et cette bague gravé de ma passion qui me narguait au fond de ma poche … Le coup est partie si vite … Toute la violence d’un homme, s’était exorcisée par cette seule gifle… sa tête heurta la pointe du meuble …oui je l’ai tué, sans le faire exprès …
Vous savez – fit-il en serrant un rictus triste- même morte, ma Lulia gardait cet aura secret, ses grands yeux ombrés s’étaient fermé à tout jamais, et ses longs cheveux ébènes drapait son visage angélique, même morte elle souriait de sa fine bouche …
Tu vois Lulia en ce jour sacré de la saint valentin, je t’offre ma liberté …

Le juge : La séance est levé, l’accusé est reconnu coupable, par son aveu et la nature passionnelle de son crime, nous prendrons en considération ces quelques circonstances atténuantes, le temps de délibérer est nous annoncerons publiquement la sentence.

Une vingtaine de Jury le suivirent dans l’enceinte d’une salle insonorisée, à peines quelques minutes plu tard, ils revinrent tous, traînant derrière eux les mêmes expressions impassibles et placides.

Le juge : Nous avons décidé à l’unanimité que l’accusé Mr David Bonk, accusé du meurtre de Mademoiselle Lulia Selim, sera condamné à 35 ans et 9 mois de prison ferme plus 100 heures de travaux d'interets généraux.

La terre s’arrêta de tourner, David baissa les yeux et joignit ses deux mains dans un souffle assourdi, tandis que ses fans gloussaient en brament, les clichés se faisaient de plus en plus nombreux … mais rien n’avais plus aucun sens … aucun son ne pouvais encore attirer son intention … sauf peut-être …
Timo : NON IL MENT … IL EST INNOCENT … JE LE SAIS …parce que c’est moi qui l’est fait !! Finit-il dans un soupir inaudible.

David le regarda en souriant bêtement, puis il se laissa entraîner par les deux colosses qui le menaient à la concrétisation de son châtiment.

« C’est le seul élément mémorial qui me reste de ce beau jour, pourtant, ton visage ne manque de me rendre des visites inespérées chaque soir quand je m’assoupit dans un coin obscur de ma demi cellule miteuse, crasseuse aussi … seul ton souvenir agrémente mes envies, car quand on fait le vide autour d'un souvenir, il ne reste plus rien que ce souvenir dans l'infini qu'on a, et ce souvenir devient l'infini… Tu es mon infini … mon fini … sans toi je suis indéfiniment fini …
Luli je ne regrette rien, pourtant dans la nuit inconsciente mon cœur gémit encore, mon esprit sanglote toujours…Mère Térésa avait proclamé que la perte d'une certaine pudeur comme la perte de la pureté sont les causes profondes de la décadence du monde.
Tu es la pureté inégalée, la pudeur incontestée … et je suis la décadence dans ce monde … une décadence bientôt remise en liberté …Mais je ne regrette rien … »



Il faisait sombre, tout était trop terne pour être correctement discerné, ce soir là j’avais passé la journée à déambuler dans les rues fleurit d’Hambourg, je n’avais cessé de chercher la perle rare pour ma perle rare, tous les bijoutiers refermaient des trésors d’or et de diamants mais c’était bien peu pour moi … ce que je cherchais je l’avais visionnée dans mon tête, je l’avais tonnée toute le nuit dans mon demi sommeil, ce que je voulais c’était avoir l’illumination en décortiquant la bague, non je ne voulais pas de perfection, je voulais juste quelque chose d’elle … quelque chose de Lulia …
Après des heures ou je fut traiter de client difficile, ou encore d’idéaliste profond, je finit par trouver une petite bague en or blanc incrusté d’une petite perle crémée, toute discrète mais merveilleuse, mais ce n’était pas la taille du joyau qui m’importait, c’était un petit défaut au dos du bijou qui m’avait particulièrement plut, une petite émaille qui rappelait que le parfait n’était point, que l’obscur n’était qu’un point absent …
Sourire au lèvres, je pénétra à l’intérieur de mon appartement, bizarrement la porte était entrouverte mais cela ne me dérangea pas tant que ça … Tant que les bribes de conversations qui me parvenaient du salon …

Timo : Il faut arrêter, il va te demander en mariage
Lulia : Timo je t’aime
Timo : tu sais très bien que moi aussi mais David est mon meilleur ami
Lulia : ne fuit pas mon regard, Timo pourquoi tout gâcher
Timo : Tu as tout gâcher le jour ou tu a voulu me rendre jaloux
Lulia : Tim !! fit-elle la voix enrouée par la tristesse.
Timo : LACHE MOI LULIA !!

Elle s’était collée à lui dans un élan brusque, quand elle fut tout près de lui, elle sortit les grands ciseaux de couture de la poche antérieur de son haut, et les pointa vers le jeune rappeur.

Timo : Arrête …
Lulia : si tu ne m’appartiens pas, à aucune autre tu sera
Timo : tu es malade
Lulia : oui, malade à en crever

Elle brandit l’arme vers la poitrine du jeune homme, tout en s’approchant de lui, mais quand il sentit la pointe des ciseaux lui picoter le torse, il fit volte face et l’arme dévia sa tragectoire, en plein dans le cœur de la jeune syrienne.
Elle ne cria pas, ne brancha pas, mais se laissa dignement tomber sur le sol mouillé par son propre sang, c’est à cet instant que j’entra … Cette horrible vision …Apeuré j’ai accouru comme je l’avais craint les gémissements de douleur étaient ceux de ma bien-aimée mêlés à ceux de mon meilleur ami, il se tenait figé face au corps inerte de Lulia, elle était étendue sur une flaque de sang nacre … Il ne l’a pas tué … ce n’est pas possible … mes jambes fléchirent et je me traîna jusqu’à ses cotés les larmes aux yeux … J’arracha les ciseaux de sa poitrine morte, et le dirigea vers la mienne … Mais c’est là qu’il me stoppa … c’est là que j’eus compris, en regardant ses yeux … »



« Aujourd’hui je suis enfin libre, le jeune homme fragile que j’étais s’est transformé en un vieux barbu aux cheveux hirsutes, des rides de sagesses se sont creusés sur mon visage creux tandis qu’une nouvelle lueur s’est faufilé entre mes cils, j’ai changé, ma sacoche moisie dans le dos me rappelle mon vécu tout en me poussant vers mon avenir… Au revoir justice !!
En dehors de la muraille taguée de l’édifice ancien, combien de galériens sont passés à tort ici ? Combien avant moi se sont dévié à l’amitié ? Pas le temps de pousser la réflexion plus loin, la silhouette familière de Timo me parait au loin, je le reconnais, il n’a pas changé, il ne m’a pas oublié … »

David : Salut …

Il n’osa pas relever les yeux vers moi, mais juste le temps de cogiter et il éclata en sanglots étouffés dans mes bras fins, sa chaleur corporelle me parvenait tel un présent mérité, une récompense qui me rappelait que j’avais eu raison de le protéger …

David : Laissons le passé être le passé Timo !!
Timo : Je … je suis si désolé, je ne mérite pas ton amitié
David : Oui tu as raison … Tu mérite ma fraternité !!

Il lui sourit.

David : Je voudrai te demander une faveur, emmène moi …
Timo : je le savais … l’interrompt-il.

Dans le cimetière de la ville, l’atmosphère était encore plus morne que dans mes souvenirs, plus maussades que dans mes mémoires, mais je devais rester humble, je me dirigeai d’un pas sur. Une fois face à sa tombe je pouvais lire briller sur son épitaphe :

« Lulia Selim
1988-2008
Morte par excès d’amour »

Dans la vie il y a deux catégories de gens, les gens aimés, et les autres mal aimés, à ton avis qui est le plus stupide des deux ? Fis-je à Timo qui était resté en retrait.

Timo : - Sûrement, celui qui n’a pas assez de conscience pour avouer son amour…

Je savais que t'allais dire ça !! huhu^^

Oui, mais si j'avais fait comme dans un vrai procès personne aurait pijé, dois-je te rappeller que c'est une fiction xD ... Puis je trouve que ça fait assez théarale non ? xD

Pour le philosophque, je suis désolée mais c'est plus fort que moi xD C'est grave ^^

bin si je dis que j'aime jvais faire comme tous les autres... et j'aime pas faire moutons mais qu'est-ce que j'y peux, j'ai adoré ce one shot félicitation, t'as de l'imagination mamzelle ^^

Merci bcp les filles !!

moi jadore jadore jadore jadore jadore !!!!!!!

...

TECRIS TROP BIEN C PO LEGAAAALLLLEUUHHHHHH!!!!!!!!!!!!!

me sens toute petite...

je kiff, je kiff et puis je surkiff, koi!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Zesper kon aura plus de OS dans le futur ^^

Xd c trop gentille !!

oui j'avoue j'attendais ton com et celuide Bea xD

mais faute avouée à moitié pardnnée non ?? xD

En faite G une idée d'Os mais ché pas ... ma suite é prioritaire mnt lol

Jvous nem 4

T'attendais pas le mien ? Et bah je suis VEXEE !! Voilà je n'ecrirais plus pour une durée inderterminé mais j'ecrirais plus de com pour toi ou qui traite de toi >< !!!

Hey mais ...

Nani réfléchis un peu, le tien je l'ai eu en premier, je l'avais déja ...Tu trouves pas que l'attendre serait pitoyablement bete ??

U_U

Bah nan tu es bête parce que je le suis aussi ! C'est dans les gènes et pis ca m'aurait fait plaisir, la prochaine fois, je la lirais en dernière ta fiction grr >< !

Nan !!

y aura pas de prochaine fois xd >< - dsl javais envie de le dire-

J'ATTEND TOUJOURS TES COMZZ ET TES INTERPRETATIONS !! c tjrs instructif on va dire xd

ouah, c'est vraiment bien écrit, je suis trop...0_0
Bref, l'histoire est génial, c'est trop, trop cool
MOI OSSI JESPÈRE QUE TU METTRA PLUS SOUVENT DES OS!!!

alors moi, je viens de lire, je t'ai sur MSN mais c'est mieux sur le forum;

très poétique. j'adore! Malgré la souffrance et la mort, ils restent amis... Bouhouhouh! Trop beau!